DENSIOS chez Chateau Latour et Château Léoville Las Cases ; un retour d’expérience prometteur 🍷!
Début mars, Olivier BAZALGE, le journaliste à la revue mensuelle dédiée à l’œnologie La Vigne (vitisphere) venait à la rencontre de Julien Arnaud, œnologue chez Château LATOUR et Umberto ARINO du Château Léoville Las Cases pour évoquer les résultats de la mise en place du densimètre automatique DENSIOS.
🚀 Un test réussi !
« Outre le temps, le suivi est très fin, avec des courbes alimentées chaque heure, au lieu de deux fois par jour » témoigne Julien Arnaud.
Pour Umberto, « C’est parfaitement Fiable ! » ; « le fait d’avoir une densité mise à jour chaque heure permet une parfaite réactivité dans la prise de décisions œnologiques«
Ces premiers retours attestent de la solidité de notre technologie et de la pertinence de notre solution.
En substance, privilégier les solutions d’Onafis permet à tout responsable de chai de :
✅Gagner du temps sur les relevés manuels, la saisie informatique et les tracés de courbes de cinétiques.
✅Sécuriser les fermentations et anticiper les problèmes de fermentation languissante à distance.
✅Démarrer et terminer la journée avec toutes les densités pour planifier rapidement les opérations à venir.
✅Eviter les erreurs de mesures manuelles pour obtenir une mesure fiable, précise et répétable.
✅Privilégier un système de mesure sans aucun prélèvement
Onafis de My Bacchus ne compte pas à s’arrêter sur le suivi automatique des fermentations et de l’élevage des vins.
Pionnier de la viniculture 4.0, My Bacchus avec sa solution Onafis confirme son essor avec une levée de 2 millions d’euros. Fortes de ses récents succès technologiques et de ses références de belles maisons vinicoles en France, la société a pour ambition d’accélérer son développement sur le territoire français et à l’international.
Le tour de table a été mené par Demeter Investment via son fonds VitiRev Innovation dédié à la transition écologique du secteur viti-vini. Parmi les autres investisseurs figurent Sophie Pallas ancienne directrice des unions des œnologues de France, crédit agricole, holnest de la famille Aulas et les investisseurs historiques Sodero Gestion et Bamboo.
La solution Onafis innovante adaptable à toutes les méthodes de travail, allie tradition et data intelligence, a déjà prouvé sa pertinence et sa fiabilité dans une soixantaine de domaines : du domaine familial en Pays nantais aux 4 des 5 premiers Grands Crus classés de Bordeaux.
Olivier Bordelanne de chez Demeter IM : « Le monitoring in situ du processus de vinification permet de suivre en temps réel les indicateurs clés de la fermentation et de la maturation et il aide les viticulteurs dans leurs prises de décisions. Les capteurs et la plateforme logicielle de My Bacchus facilitent un suivi précis non seulement de l’état des vins mais aussi de l’environnement (cuvier, chai) pour lancer des actions correctives rapides tout en permettant une optimisation énergétique des processus. »
Entrez désormais dans la communauté Onafis et venez partager avec nous votre passion du vin !
ÇA RECRUTE CHEZ ZANDOLY !
ZANDOLY, jeune entreprise qui intègre et développe des solutions sur-mesure de gestion des exploitations dont l’objectif est d’alléger et faciliter le quotidien des producteurs de fruits et légumes, poursuit son développement avec l’arrivée de leur première collaboratrice en alternance : Marie PEREZ.
Marie est en deuxième année d’école d’ingénieur à Bordeaux Sciences Agro, parcours AgroTIC (Agronomie et Technologies de l’Information).
Elle rejoint ZANDOLY en tant que cheffe de projet en alternance dans le pôle projet.
Elle nous accompagne dans le déploiement et le développement de nos solutions chez nos clients en France, aux Antilles et en Afrique.
Outre le suivi des projets clients, elle participe aux développements de nouvelles fonctionnalités en particulier la mise en place des certifications HVE, ECOCERT, GLOBAL GAP, RAIN FOREST…
« C’est grâce au réseau de la ferme digitale et en particulier à Romane RICHEZ et à Clément SOULIER (AXIOMA) que nous avons eu la chance de rencontrer Marie. Son profil nous a tout de suite plu ; elle est rigoureuse, curieuse et partage les mêmes valeurs notamment que le numérique se doit d’être au service du vivant. » Rémi de CHAZELLES co-fondateur de ZANDOLY
« Nous sommes ravis d’accueillir Marie ! Son sens du client, sa passion pour l’agriculture et pour le numérique vont nous permettre de grandir en respectant nos valeurs. Chez ZANDOLY, la parité est au centre de nos préoccupations ; nous sommes convaincus que les femmes ont toute leur place dans les entreprises numériques et apportent une richesse inestimable. » Martin de REYNAL co-fondateur de ZANDOLY
Yphen, lève 2,2 millions d’euros et démarre un tour de 8 millions pour l’industrialisation de ses procédés.
Spécialisée dans les solutions innovantes de remédiation des sols, la StartUp YpHen vient d’annoncer la clôture d’un tour de financement de 2,2 millions d’euros auprès de sa holding EDAPHOS et de BPI France.
Ce financement permet à la startup implantée à Thonon de préparer une phase de pré-industrialisation, de sécuriser sa roadmap PI et structurer un pipeline commercial déjà conséquent.
En s’inspirant du fonctionnement des sols forestiers, YpHen avait déjà fait sauter trois verrous technologiques : la production de masse de mycélium pur, la colonisation dynamique de la majorité des sols et surtout l’encapsulation d’organismes vivants, facilitant stockage, manipulation et mise en œuvre de ses produits.
Poursuivre l’exploration du marché de l’intrant agricole
La StartUp poursuit ainsi avec confiance ses travaux de développement d’une vaste gamme de bio-produits encapsulés mais ne compte pas en rester là.
En effet, sa technologie propriétaire Mycofluidic® intéresse les industriels de l’intrant agricole et certaines StartUps de La Ferme Digitale pour véhiculer au sol les principes actifs de la transition agricole.
Déjà de nombreux tests d’encapsulation de biostimulants, biocontroles ou autres fertilisants ont donné des résultats encourageants comme l’explique Gil Burban, CEO en charge de l’industrialisation des process ;
« Notre technologie de réticulation des alginates permet de véhiculer au sol et au plus près des racines ou des semences divers micro-organismes et ingrédients bio sourcés dont nous maitrisons la libération ou la dégradation dans le temps. Les applications en agriculture sont tellement variées et prometteuses que nous envisageons déjà de travailler sur plusieurs lignes de production. Notre outil prototypal tourne à plein et produit déjà plusieurs tonnes d’ingrédients encapsulés de toutes sortes. Nous sommes en cours d’évaluation de différents sites candidats qui pourraient accueillir notre future usine, c’est pourquoi nous entamons une prochaine levée de fonds de 8 millions d’euros d’ici fin 2022 afin d’amorcer la construction de l’unité industrielle en 2023. »
En étant la première deeptech Européenne à produire des bio-polymères vivants pour des opérations de dépollution, YpHen démontre que les biotechnologies et les capacités industrielles de pointe peuvent régénérer durablement les sols et apporter des solutions innovantes aux acteurs de la transition agricole en marche.
« Start Industrie » : l’alliance des représentants des startups industrielles françaises
Paris, le 15 juin 2022 – 15 organisations représentatives s’allient et créent « Start Industrie » pour parler d’une seule voix au nom des startups industrielles françaises, et défendre les intérêts de ces acteurs émergents de l’industrie.
En forte croissance dans le contexte de réindustrialisation que connaît notre pays, l’écosystème des 1.600 startups industrielles françaises est actuellement animé par des organisations de secteurs de l’aéronautique et de l’espace, des industries de la mer, de l’agroalimentaire, de l’automobile, de la sécurité et de la défense, de la construction, du bois, de l’énergie, des technologies propres, de la chimie, de la santé… Elles ont décidé de travailler ensemble pour accélérer cette dynamique collective, et lever les freins rencontrés par leurs adhérents.
L’objectif de cette nouvelle organisation est d’améliorer l’environnement économique, législatif et administratif des startups industrielles. « Start Industrie » se positionne comme interlocuteur privilégié des pouvoirs publics et des grands donneurs d’ordre sur les 4 enjeux qui conditionnent l’émergence et le développement des startups industrielles :
- Accompagnement de l’innovation et de l’industrialisation
- Levier de la commande publique et privée
- Financement de la croissance
- Impact environnemental
Start Industrie formule plusieurs propositions pour répondre aux défis rencontrés par les startups industrielles :
- créer des fonds d’investissement evergreen sectoriels dédiés aux acteurs émergents, s’appuyant sur les Comités stratégiques de filières et mobilisant des fonds publics et privés ;
- accroître la mobilisation et la sélection des startups industrielles porteuses de projets et candidates au plan France 2030 qui s’est engagé à leur dédier une part significative de ses soutiens ;
- créer un dispositif d’accompagnement à l’industrialisation des startups qui prendrait le relais du diagnostic « amorçage industriel » initié récemment par Bpifrance ;
- renforcer et adapter l’offre foncière territoriale pour répondre au besoin croissant d’implantation de nouveaux sites industriels ;
- développer l’utilisation de la précommande et la commande publique comme levier économique du soutien aux acteurs industriels émergents ;
- accompagner davantage les jeunes entreprises dans l’intégration des impacts environnementaux dans leur modèle d’affaires et leur feuille de route industrielle.
Cette nouvelle alliance bénéficiera de l’expertise et des ressources des 15 organisations membres :
Alliance NewSpace France, CementLAB, la ChemTech, Cleantech Open France, Collectif Startups industrielles France, CSTB Lab, EVOLEN’ UP, France AutoTech, France Biotech, France Industrie / Club Tech Factory, Generate, la Ferme Digitale, la Wood Tech, SEAstart et Starburst.
Pour Antoine HUBERT, PDG d’Ÿnsect et porte-parole de Start Industrie : « La France est une terre fertile pour les projets industriels car ils sont directement issus d’un écosystème d’excellence en R&D. Nous devons tous nous mobiliser pour favoriser l’émergence et améliorer la croissance des jeunes entreprises industrielles qui contribueront, aux côtés d’acteurs plus anciens, à créer plus de valeur, des emplois locaux et les solutions de décarbonation dont notre économie et notre monde ont besoin. »
Promus, place au petit gros de la distribution :
Depuis son lancement, Promus travaille pour fournir aux restaurateurs de bons produits avec une transparence complète.
La gamme, les prix et l’outil évoluent tous les jours pour offrir le meilleur service possible, il était temps que la marque reflète aussi tous ces apprentissages.
Des produits frais, sélectionnés par l’équipe, au plus proche des clients et surtout, avec du gout. Ce sont ces 4 piliers qui forment le nouveau logo du petit acteur qui deviendra un gros de la distribution.
Et concrètement, comment se traduisent ces valeurs dans l’outil Promus ? Après chaque livraison réceptionnée par ses clients, ceux-ci ont accès à une page publique gratuite qui présente l’origine de tous les produits livrés récemment.
Accessible via QR Code ou partageable sur les réseaux sociaux, elle permet aux clients Promus de communiquer sur leur engagement en toute transparence.