Chaque abeille est un bio-indicateur de la qualité environnementale alors maintenant BeeGuard les compte une par une !
Comment accélérer la transition agro-écologique engagée par les agriculteurs ?
Il faut mettre en œuvre des mesures d’impacts pour cibler les besoins de rééquilibrage puis être en capacité de valoriser ses actions.
BeeGuard propose un service de biosurveillance de l’environnement s’appuyant sur la vie quotidienne des pollinisateurs
En effet, les abeilles sont des sentinelles de l’environnement car en plus de réaliser le service écosystémique de pollinisation essentiel à notre agriculture dans un rayon de 3km, elles sont aussi des bio-indicateurs signalant si l’écosystème local se porte bien.
En s’appuyant sur des mesures factuelles, automatiques, continues de l’activité et de la santé des abeilles, l’impact des actions agro-écologiques est enfin quantifiable et la transition accélérée par la démarche d’amélioration continue.
BeeGuard fournit un premier niveau d’indicateur : la disponibilité de la ressource alimentaire pour les pollinisateurs.
Les capteurs spécifiques sont installés sur des ruches déjà existantes sur la propriété ou gérées par un apiculteur local.
Les mesures continues de rendement de butinage permettent de déterminer tout au long de l’année, les périodes d’excédent, d’équilibre et de déficit alimentaire vues par les pollinisateurs. Cet indicateur permet de valider et d’optimiser l’impact des Infrastructures Agro-Ecologiques proches, sur la disponibilité de la ressource alimentaire pour l’ensemble des pollinisateurs.
Maintenant BeeGuard compte les abeilles par vidéo embarquée pour déterminer la mortalité journalière de la colonie témoin.
Fruit de plus de 2 ans de collaboration avec APILAB et l’INRAE, BeeGuard a créé BeeLive® le premier compteur d’abeille par l’Intelligence Artificielle embarquée dédié à la biosurveillance de l’environnement.
Grâce à l’analyse vidéo continue de la planche d’envol, le nouveau capteur permet de détecter toutes les allées et venues des pollinisateurs à l’entrée de la ruche, avec un taux d’erreur inférieur à 5%. Cette précision en fait un capteur essentiel pour le marché de la biosurveillance.
En plus de la dynamique de butinage pendant la journée, utile pour caractériser les services de pollinisation, la mortalité de la colonie est enregistrée chaque jour et devient un indicateur clé. La solution ultime pour démontrer l’absence de collision entre les pratiques agricoles et la vie des écosystèmes.
L’offre BeeGuard de biosurveillance est commercialisée depuis le printemps 2022.
Elle s’adresse à toutes les filières de production en extérieur soucieuses de leur impact sur la biodiversité: viticulture, arboriculture, grande culture, production de semence, foresterie, élevage…
Ce côté transfilières séduit également les coopératives, les conseillers en pratique agro-écologique et les labels de qualité. En particulier, le label Européen BEE FRIENDLY a choisi d’utiliser les technologies BeeGuard au cœur de ses projets agricoles, pour à la fois renforcer le dialogue vertueux apiculteur/agriculteur et accompagner le changement des pratiques en s’appuyant sur ces indicateurs clés.
BeeGuard vous attendra avec La ferme Digitale au prochain SIMA du 06 au 10 novembre à Paris Porte de Villepinte.
Besoin de plus d’information ? Prenez contact avec notre équipe sur www.beeguard.fr
Saison 2022 : une météo hors norme.
Coup de chaud dans les champs. Le printemps 2022 a été le troisième plus chaud de l’histoire, selon Météo France et avec des épisodes caniculaires multipliés, juillet n’est pas en reste. En moyenne, les températures des 3 derniers mois sont supérieures de +2,4 °C aux normales de saison.
Un temps trop chaud, mais surtout trop sec. Actuellement, 80% des sols souffrent du manque d’eau (comme on peut l’observer sur cette carte 👉). Y compris dans des régions jusqu’à présent peu sujettes à la sécheresse estivale, comme les Pays-de-Loire ou la Bretagne.
Dans ce contexte, l’irrigation constitue un atout précieux pour les exploitants qui cherchent à sécuriser leurs rendements. Toutefois, l’eau se fait rare. À l’heure actuelle, la quasi-totalité du territoire est concernée par des mesures de restriction d’eau.
L’index hydrique : qu’est-ce que c’est ? L’index hydrique correspond à la différence entre la pluviométrie et l’évapotranspiration potentielle (ETP). Il permet d’avoir un aperçu du bilan de l’eau apportée naturellement par la pluie auquel on soustrait la transpiration des plantes et l’évaporation au niveau du sol.
Un nouvel enjeu : cultiver les données
Heureusement, des solutions existent. Et de plus en plus d’agriculteurs s’équipent d’outils innovants pour piloter leur irrigation avec précision, comme la sonde capacitive ou les tensiomètres connectés Weenat.
En installant ces capteurs dans leurs champs, les irrigants peuvent suivre l’état hydrique du sol en temps réel sur leur téléphone ou leur ordinateur. Et grâce à ces informations, ils savent exactement quand démarrer ou arrêter l’irrigation.
Résultat ? Ils apportent de l’eau aux cultures lorsqu’elles en ont besoin. La Chambre d’agriculture des Alpes-de-Haute-Provence a par exemple économisé 2 tours d’eau sur la saison dernière. Soit environ 700 mètres cubes par hectare irrigué.
RDV ici pour en savoir plus sur la gamme de capteurs Weenat pour l’irrigation.
L’IA ouvre le champ des possibles
Et pour toujours plus de précision dans le pilotage de leur irrigation, les agriculteurs peuvent également utiliser des outils d’aide à la décision. L’intelligence artificielle ouvre le champ des possibles, et offre aux agriculteurs un levier de performance inédit pour maîtriser l’utilisation de leurs ressources.
Après 4 années de R&D, Weenat a par exemple développé Weedriq, un modèle capable de combiner les informations historiques et en temps réel des tensiomètres avec les prévisions météo locales afin de simuler à J+7 l’évolution de la tensiométrie, c’est-à-dire la force dont les racines ont besoin pour extraire l’eau du sol.
Ainsi, les agriculteurs savent une semaine à l’avance OÙ et QUAND ils devront irriguer. Ils peuvent alors optimiser l’organisation de leurs chantiers. Et faire des économies d’eau.
Pour tout savoir sur ce nouvel outil, c’est par ici !
Les Grappes s’exporte en Italie !
Depuis 2014, la mission chez Les Grappes est d’aider chacun à acheter du meilleur vin et de mettre en avant les hommes et les femmes qui se cachent derrière la bouteille. Les Grappes facilite un achat responsable en direct des vignerons pour les clients particuliers et pour les clients professionnels : aide au choix, sélection des vignerons, passage de commande simplifié, et suivi logistique.
Chez Les Grappes, la volonté de faire rayonner le savoir-faire des vignerons, de les aider à développer leur activité mais également faciliter l’achat de vins français à l’étranger ne connaît pas de frontières. S’implanter en Italie, l’un des fiefs européens du vin et de la gastronomie, symbolise la croissance fulgurante que connaît Les Grappes depuis la réouverture des établissements de restauration.
L’ambition ? Servir des centaines de clients restaurants, hôtels, revendeurs à l’étranger à horizon fin 2022. C’est Elsa Moisand, Export Manager chez Les Grappes, qui porte ce projet depuis Milan en Italie. Elle a déjà conquis Fabio Monittola, passionné de vin, sommelier de formation et gérant de la cave Puglia Rewind à Lecce, dans la région très touristique des Pouilles. Il a trouvé chez Les Grappes ce qu’il n’a trouvé nulle part ailleurs : des tarifs attractifs, des pépites françaises de vignerons récoltants peu connues et un accompagnement sur la logistique internationale. Fabio travaille main dans la main avec Les Grappes pour l’approvisionnement complet de son rayon vins français.
La collecte de données de traçabilité fiables, un enjeu fort pour la mesure et l’amélioration de l’impact environnemental et de la durabilité des filières agroalimentaires.
Lancée en 2020 par Cafés Méo, Koota a pour ambition de révolutionner le marché du café en devenant une marque Bio et équitable à l’empreinte carbone neutre. Aujourd’hui, 15% du café Koota est transporté par voilier, les emballages sont recyclés et recyclables et les équipes travaillent sur la réduction des émissions de GES issues de la production et engagent des actions de reforestation. Et pour une transparence totale de la filière, la marque a choisi la solution Crystalchain.
Grâce au QR code sur l’emballage, les consommateurs peuvent désormais suivre à la trace les différentes étapes de leur produit, de l’origine des grains et leur récolte à la transformation de leur café. Des informations sur les bonnes pratiques de dégustation du café sont également disponibles. Chaque étape est enregistrée et notarisée dans la blockchain, de façon à apporter les preuves des engagements de Koota : une marque transparente, Bio, équitable et qui progresse vers la neutralité carbone.
Ce projet rejoint la liste, de plus en plus en plus longue des filières agroalimentaires qui font le choix d’une meilleure traçabilité pour déployer une politique RSE performante. En effet, disposer de données fiables sur l’impact environnemental et social pendant le cycle de vie des produits permet de rendre compte par les données des axes d’amélioration RSE, et de mettre en place des objectifs et des actions concrètes pour les atteindre. Les données de traçabilité représentent un apport considérable pour la réalisation de l’Analyse de Cycle de Vie des produits (ACV) dans la mesure où elles sont plus précises que des données génériques ou moyennées. Dans ce contexte, la collecte de données de traçabilité fiables et leur valorisation devient un enjeu essentiel pour les entreprises.
Technologie de stockage décentralisé de l’information, la blockchain est une technologie bien adaptée pour collecter des données fiables sur la traçabilité du cycle de vie des produits. Utilisée en combinaison avec une plateforme robuste, elle permet une récolte et un partage de données transparents et rapides. Les données renseignées dans la plateforme permettent aux entreprises de cartographier l’ensemble des étapes du cycle d’approvisionnement et de production avec, à l’appui, des informations certifiées. L’entreprise obtient alors des données qui lui permettent d’améliorer le calcul de son impact environnemental : nombre de kilomètres parcourus par le produit ou litres d’eau utilisés à chaque étape de sa confection par exemple.
« La traçabilité est le pilier de toute démarche environnementale car on ne peut pas calculer l’impact de notre activité si on ne connait pas sa filière du début à la fin. Notre souhait est d’accompagner nos clients dans la démarche vers la responsabilité et la décarbonation, car il est évident que chacun doit faire sa part dans la transition écologique. Notre expertise dans la traçabilité et nos modèles de données testés et approuvés nous permettent d’apporter à nos clients la pièce maîtresse de leur stratégie RSE »
Hugo Sereys, directeur commercial de Crystalchain.
Agreenculture se concentre sur l’automatisation et la sécurité de machines agricoles en extérieur.
Quels sont les enjeux de la robotique agricole ?
Le manque de main d’œuvre, la réduction de produits phytosanitaires, la pénibilité des tâches, le tassement des sols, les aléas climatiques de plus en plus fréquents, telles sont les problématiques auxquelles nous sommes aujourd’hui confrontés. Ainsi, nourrir à un prix accessible les quelques 10 milliards d’êtres humains annoncés d’ici 2050 avec une population d’agriculteurs et des surfaces agricoles qui diminuent relève du défi.
Robotiser les tâches agricoles devient alors une véritable solution réclamée par les agriculteurs, et s’avère même plus écologique que de nombreuses solutions actuellement utilisées.
Pour rendre une machine autonome, il faut pouvoir lui fournir sa position de manière très précise, afin qu’elle travaille au plus près des rangs de cultures, mais surtout d’être en mesure de certifier qu’il n’y ait pas de risques qu’elle se rende sur une route ou qu’elle écrase quelqu’un ou quelque chose.
Pourquoi Agreenculture se concentre sur l’automatisation et la sécurité ?
Agreenculture est connue pour avoir développé CEOL, un chenillard autonome pour cultures pérennes. Pourtant son réel savoir-faire se concentre dans l’AGCbox, le boitier de positionnement et de guidage connecté et sécurisé qui permet d’une part de rendre une machine autonome et d’autre part de se passer de la présence d’un opérateur à proximité grâce à sa fonctionnalité de Safencing (barrière de sécurité virtuelle). CEOL est en cela le meilleur démonstrateur de l’AGCbox !
Agreenculture est pionnier en sécurité dans le milieu de la robotique agricole. Nous maîtrisons toute la chaine de données de la réception des signaux satellites à l’application de gestion de mission du robot, en passant par le développement de nos interfaces mobiles.
L’enjeux est capital, c’est pourquoi nous travaillons activement à la certification de notre solution. L’objectif étant de laisser les machines autonomes travailler sans supervision humaine, et dégager du temps aux agriculteurs, la sécurité de la machine et de son environnement sont clés.
Quoi de neuf avec l’AGCbox ?
L’AGCbox permet de rendre autonome une machine agricole en toute sécurité, c’est une solution de :
- Positionnement, précise au centimètre, grâce au récepteur GNSS-RTK.
- Guidage et gestion de flotte (plusieurs machines simultanément),
- Sécurisée, grâce au Safencing, Agreenculture est en mesure de certifier que la machine et son outil, ne sortiront pas d’un contour défini de manière sûre.
Toutes les informations sont désormais disponibles en temps réel avec le développement de plateformes de monitoring et de téléopération, qui permettent un suivi, une gestion de flotte, ou de dépanner un robot à distance.
Agreenculture accompagne les machinistes et roboticiens à relever les défis que sont l’automatisation et la sécurisation des machines agricoles, pour développer et améliorer le quotidien des agriculteurs.
Nous fournissons une technologie de navigation sécurisée ainsi que le support d’experts dont ils ont besoin pour mettre sur le marché un tracteur, un robot ou toute machine à rendre autonome en toute sécurité.
Retrouvez-nous au SIMA 2022 à Paris du 6 au 10 novembre 2022 et sur les réseaux sociaux